dimanche 25 janvier 2009

Faut-il lire Ernest LA JEUNESSE ?





La postérité est mauvaise fille, on le sait. Mais quand la critique et le gros public ont fait de vous l'auteur d'un seul livre, lorsque votre nom devient synonyme de fantaisiste, de chroniqueur, de boulevardier, comment voudriez vous que la postérité vous soit favorable ? Ernest Lajeunesse, lorsqu'il n'est pas complètement oublié, reste, au mieux l'auteur de Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains, au pire il est l'archétype du journaliste boulevardier, auteur de bons mots, de méchancetés vite oubliées, de critiques un peu bâclées saupoudrées d'esprit 1900 bien parisien.

Un article, de Gabriel Reuillard, paru en 1913 dans le n° 275 de l'hebdomadaire Les Hommes du Jour, fait le point sur le cas La Jeunesse, et comme une critique aussi fouillée sur l'auteur de l'Holocauste est rare, elle pose question et incite a aller voir de plus près ce que fut véritablement l'oeuvre et la personnalité de ce curieux et extravagant écrivain.

Ce que Reuillard reproche au style de La Jeunesse, pourrait bien être ses principales qualités. Oui La Jeunesse néglige « la forme pleine » des mots, il ignore la proportion, refuse de choisir dans « l'abondance que soulève en lui une vision ». Oui son style est « touffu, diffus, romantique, lyrique, extravagant, pétaradant, oléagineux, prestigieux, clownesque et funambulesque », oui il utilise les « à-peu-près » « les calembours », il joue avec les mots et la langue, le mauvais goût même ne le rebute pas, est c'est pour cela même qu'il mérite sans doute d'être lu. Même si La Jeunesse n'est pas tout à fait « un penseur à la façon de ce pauvre M. Brisset », l'auteur de la Grammaire logique et des Origines humaines, ce rapprochement prouve que La Jeunesse ne pouvaient être pleinement compris et appréciés par les amateurs de pensée claire et de belles proportions stylistiques.

Ernest LA JEUNESSE


La gloire fut avare à Ernest La Jeunesse. Et je ne crois pas que ce soit une raison suffisante aujourd'hui que la réédition de Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains pour biographier prématurément ce chroniqueur imprudent et verveux. Quoi qu'il en soit, cette réédition d'un ouvrage qui fût son seul succès en librairie, et un succès un peu spécial, moins dû au talent certain de l'auteur qu'à la personnalité des hommes connus qu'il fustigeait, nous donne l'occasion de parler longuement de lui et surtout de la qualité de son talent.
Je ne sais pas pourquoi Ernest La Jeunesse est encore un de ceux dont la foule amusée de Paris s'occupe le plus volontiers. Il représente, aux yeux de certains bourgeois entichés de connaissance littéraire, un des derniers survivants obligés de la bohème romantique, un de ceux dont on aime citer les boutades et les mots, un de ceux qui peuvent alimenter la chronique du jour, la chanson de Montmartre et la revue de music-hall. Sa silhouette bouffonne a été si longtemps l'appât du caricaturiste, et elle et si extravagante en vérité, qu'on arrive à penser que La Jeunesse a pris plutôt le soin de ressembler aux charges qu'on traçait de lui. Il promène, d'un air lassé, dans les brasseries de Paris, dans les théâtre de Paris, un éternel sourire à la fois ironique et indulgent que la bouche lippue semble exagérer à plaisir dans la face mobile et charnue, ronde comme une lune, une face blafarde de pierrot que le reflet du monocle de l'oeil droit éclaire seul, une face gourmande de gourmet, auréolée de cheveux fous, crépus et broussailleux, les longs cheveux, rares et emmêlés d'un « chauve chevelu ».
La Jeunesse, à la fois, ressemble à Bibi-la-Purée, à un Bibi-la-Purée qui aurait fait gras, et à Beethoven, à un Beethoven qui n'aurait pas eu de génie. Telle est, singulière ou divine, et plus près toutefois de la caricature à la Veber que du portrait léché, la figure bien parisienne, comme on dit, d'Ernest La Jeunesse. Et son accoutrement, d'un négligé savant, n'en corrige pas la hideur intelligente ; il l'aggrave plutôt, si je puis m'exprimer ainsi : gros souliers, pantalon ou trop long ou trop court, cravate étrange en vert, en rouge ou en jaune criard, chapeau de feutre intentionnellement cabossé sans méthode et bagues énormes aux doigts, à chaque doigt, La Jeunesse, « bouffon gonflé », comme il s'appelle, ou « vieille lune, encore, en décomposition », brinquebalant, hirsute, hétéroclite, à la fois bon enfant, enfant tout court, jeune homme par le mot et vieux jeune homme par l'esprit, promène son ennui, la nuit, et sa fantaisie saugrenue, le jour, « accessoire de cotillon » dans la fête navrante et burlesque du Tout-Paris...
On peut juger toute l'oeuvre de La Jeunesse qui comprend neuf volumes copieux, d'après ses deux ouvrages principaux, à mon avis : Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains et L'Imitation de Notre Maître Napoléon ; le premier, de critique ardente et le second, sorte de profession de foi ou plutôt de doctrine. On trouve dans chacun l'empreinte de ce talent souple et nuancé, la facilité au mot pour le mot, à l'à-peu-près, au calembours, l'habileté à pasticher, qui laissent à son style ondoyant et divers quelque chose d'impersonnel, une exagération romantique de mauvais goût, un besoin d'outrance criarde, et quelque fois un emportement chaleureux qui reste moins furieux que furibond. Dans Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains, La Jeunesse, critique impénitent, jeune homme déjà dégoûté, liseur fourbu qu'aucun livre pourtant ne rassasie, montrait, sans honte et sans orgueil, les défauts et les qualités de son talent pénétrant et hargneux. La page sur Huysmans, ou plutôt sur l'âme de Joris-Karl Huysmans, restera comme une des plus caractéristiques de l'écrivain : « Quelque chose de lourd, d'informe, de bouillonnant, avec un jet qui s'arrêtait en boursouflure écumante, un suintement gras qui pouvait être de l'huile sainte et qui pouvait être autre chose, avec des rides et des creux d'humilité et des vallonnements de lassitude, et des plaies de clous consacrés, et des plaques qui pouvaient être des plaques de remords, et des taches de péchés qui voulaient rester pour être pleurés, et des brûlures de flammes mystiques, des froncements de dégoût, d'horreur, et des fossés de fureur pieuse, et des frissons de ferveur amère, et des tons changeants, brouillés ici de bile humaine, là souriant d'extase et d'une extase méchante, bleu ici et d'un bleu souillé de ciel souillé, vert là et d'un vert sombre d'espoir sombre, et vieux rose d'un rose de jeunesse lointaine, et gris d'une candeur diverse, et mauve d'un ancien violet archiépiscopal, et sang de boeuf d'un ci-devant rouge cardinalice, c'était une âme grandiloquente... » Grandiloquente, ah oui ! Je ne voudrais point m'amuser au dépens d'Ernest La Jeunesse à la façon du professeur qui corrige un devoir. Je n'ai nul goût d'ailleurs pour le professorat. Mais je constate seulement, et je tiens à ce qu'on constate autour de moi, combien ce style est, en effet grandiloquent. Je sais bien, par quel artifice, évidemment, La Jeunesse a voulu donner l'impression même ici du style de Huysmans. Mais Huysmans connaissait la couleur des mots et leur densité, et il les employait avec plus de pudeur, en véritable artiste. En La Jeunesse, il faut d'abord se défier de la virtuosité dont il n'a pas su se défier. Il joue, sans étude, au hasard, et souvent il joue faux, fugace et outrancier, mais il fascine et conquiert comme un tzigane. Il est le maître aujourd'hui de l'étrange sortilège romantique : un mot, pour lui, est posé dans la phrase et n'a d'autre dessein que de l'orner, comme une touche de couleur fait une tâche heureuse au centre d'un tableau. Mais nous croyons ici que le mot a un sens précis qui nous rappelle une vision ou une sensation bien définie qu'il doit communiquer à ceux qui le liront. Nous devons l'élever à la lumière avec respect, ce mot qui porte en lui une parcelle du monde. Et la beauté d'un style est dans la proportion ordonnée de ses éléments. La difficulté est, pour l'écrivain, non point de profiter de l'abondance que soulève en lui une vision, mais de choisir dans les termes divers qu'une idée fait jaillir ensemble de son cerveau. La Jeunesse, emporté par sa fécondité ou, plus exactement, par sa facilité, saisit l'adjectif coloré, l'accouple au mot banal qui lui est le plus étranger et, satisfait à peu près de leur sonorité, ne s 'embarrasse pas pour leur destination exacte. Il ne suffit pas, cependant, de remuer la foule bigarrée des mots, pour exercer le noble métier d'écrivain. Le mot ne crée pas notre sentiment, c'est notre sentiment qui fait appel aux mots pour s'exprimer. La Jeunesse l'ignore. Il part, à fond de train, au gré de ses épithètes lâchées. Il paraît mépriser leur forme pleine. Il dit : « ... nos cheveux de bébés et nos mains myopes de quatre ans... » dans l'Holocauste. Et on pourrait citer de lui d'autres fautes de goût. Voilà pour le style touffu, diffus, romantique, lyrique, extravagant, pétaradant, oléagineux, prestigieux, clownesque et funambulesque de La Jeunesse.
Et quand à la pensée de La Jeunesse, elle est simpliste et tortueuse tout ensemble : elle est celle d'un grand enfant, plein de rêves puérils, trop tôt désabusé, et tardivement résigné au sort qui lui est fait. S'il parle de Zola, ce sera pour blaguer, gavroche inconscient et féroce, un des plus grands représentants de la pensée contemporaine. Et il dira, comme il eût dit d'un médiocre du jour : « ... tout de suite, sans arrêt, sans hésitation, sans malice, sans réflexion, sans effort, sans pensée, comme s'il écrivait... » Nous pensons qu'on pouvait attaquer le grand écrivain, qui ne fût pas toujours un grand artiste, en apportant au moins un peu de précision et de sérieux dans l'examen scrupuleux des Rougon-Macquart qui resteront, quoi qu'en pensent les délicats, le plus haut monument de notre époque élevé à la vérité. La Jeunesse narquois, ne l'examine pas : il lance une boutade... Et si j'ai pris à dessein cet exemple, il en est un autre, plus important, qui nous renseignera sur la pensée de La Jeunesse. Il écrit dans L'Imitation de Notre Maître Napoléon : « L'homme que je préfère parmi tes officiers, Napoléon, c'est le colonel Ordener, qui, avec des dragons et un ordre, alla réveiller, par delà le Rhin et le droit des gens, le duc d'Enghien, dormeur d'Ettenheim. J'imagine tous ces cavaliers galopant sur la route, l'âme trouble et résolue. Tu as commandé : ils obéissent, ils empoignent le duc, ils le fourrent en une voiture et ils s'en retournent : ils accomplissent l'acte le plus inqualifiable et le plus qualifié : violation de frontière, arrestation arbitraire, séquestration, complicité d'assassinat. Ils vont. Et pourquoi ? Parce que tu es chef, parce que tu as le pouvoir, Napoléon ». Voilà à quel degré d'inconscience peut arriver un partisan de la brutale autorité qui s'exerce en dehors de tout respect et de tout sentiment, sans contrôle, afin de servir aux fins intéressées d'un homme quel qu'il soit. Par lui-même, le fait n'est pas à discuter ; « par delà le Rhin et le droit des gens... ils accomplissent l'acte le plus inqualifiable et le plus qualifié : VIOLATION DE FRONTIÉRE, ARRESTATION ARBITRAIRE, SÉQUESTRATION, COMPLICITÉ D'ASSASSINAT... » Parfois, la morale bourgeoise, est assez immorale, il faut bien l'avouer. Lorsqu'il s'agit de Bonnot, de Garnier et de Valet, « l'acte le plus inqualifiable et le plus qualifié » mérite tous les châtiments, mais lorsqu'il s'agit de Napoléon, il mérite tous les honneurs et la plus pure gloire. Il n'a manqué que le pouvoir à Bonnot, à Garnier et à Valet pour être aussi grands que M. Guichard, selon la morale de La Jeunesse. On peut même affirmer sans crainte de passer pour un mauvais esprit, qu'ils eussent, sans doute, montré plus de courage... On voit, par là, ce qu'a de dangereux l'exagération d'une théorie et la déformation qu'elle produit. La Jeunesse, penseur à la façon de ce pauvre M. Brisset (1), pêche encore et toujours, par la grandiloquence. Et je ne parle pas de l'à-peu-près du calembours, dans lequel sa phrase, quelquefois, s'embarrasse et grimace : « Ma mère eut un sourire tiré – par les pieds, si j'ose dire, de l'Enfer de Dante Alighieri... » Même dans la tendresse et la pitié, il faut que La Jeunesse exagère toujours : il a donné à la réimpression de Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains, une préface apitoyée, humaine et généreuse. Il faudrait la citer presque en entier. La Jeunesse est, depuis la première impression, le confrère et l'ami de ceux que jadis il égratigna. Et il déclare en premier lieu : « Ce recueil est injuste et cruel... » Il continue par une confession qui ne manque pas de noblesse et dont il faut tenir compte : « Et qu'y a-t-il de commun entre l'adolescent timide, fiévreux, dévoré d'ambition inquiète et d'orgueil famélique qui écrivait ces pages de marqueterie niellée, qui dévorait les gens et les oeuvres pour ne pas s'occuper de son pain, et ce gros homme patraque et résigné, esclave du jour, du soir et des faits-divers, proie banale des caricatures et des gens de revues, qui promène par les boulevards une silhouette trop familière et le pire sourire d'horreur ». La Jeunesse, en effet, est resté, avant tout, le plus Parisien de nos chroniqueurs. Et cela n'est pas drôle. Il était capable pourtant, comme beaucoup, de donner sa mesure ailleurs, de rassembler ses mots pour monter à d'autres assauts. Je suis certain que La Jeunesse est tout transi par ce vague parisianisme qu'on lui prête et qu'il rend d'un seul coup, avec largesse et un peu au hasard, dans les colonnes d'un grands quotidien. Il aurait pu vivre modeste et effacé, se modérer au lieu de se dépenser sans mesure, et il aurait donné une oeuvre aiguë, douloureuse et poignante à la place de ce verbiage coloré qu'on lit – et qu'on oublie. Intoxiqué par la littérature – et par la pire – il eût gagné à changer de milieux, de vivre « au vert », loin des salles de rédaction. Alors, il eût put s'écouter et se transcrire. En poète qu'il est, il nous eût doucement conté sa peine. Un grand journaliste, voilà ce qu'est devenu La Jeunesse, un esclave à la copie à fournir dans un temps donné, pour un certain public dont il faut flatter la mentalité. La Jeunesse, je vous connais et je vous plains, donc je vous aime. Et je dénonce en vous un pauvre homme attendri, qui rêvait de capter les mots, de les asservir à sa fantaisie, qui fut ravalé au métier du pitre, un pauvre homme fourbu et douloureux, un de ceux que notre société crée, pour son plaisir, comme la foule rit de la bassesse de l'ivrogne. Autrefois vous avez été cruel : vous en aviez le droit. La nature vous avait doué d'une âme ardente, ingénue et charmée pour vous jeter, irrésolu, dans notre enfer : le journalisme. Ici, pour vivre sans dégoût, il faut être né diable ; et vous, vous, vous aviez de la candeur et du talent. Mais il y a le problème du pain qu'il faut résoudre tous les jours. Vous étiez pauvre et c'est pourquoi, je le répète, on vous a asservi facilement. C'est donc que, malgré tout, vous pouviez être serf. Mais combien d'autres le sont-ils qui auraient pu cependant ne pas l'être en ce métier où tout ne devrait concourir qu'au développement total de notre personnalité. Je voudrais à présent vous demander pardon d'avoir exercé vis-à-vis de vous mon droit avec rigueur et d'avoir fait tout mon devoir, de bonne foi, avec l'ivresse effroyable que vous avez connue jadis. Mais vous nous deviez autre chose, il faut l'avouer, que ces articles de journaux que vous avez disséminés, comme on écrit, dans la fatigue, une lettre d'amour qu'on n'a pas le courage de détruire. Au lieu de nous servir, il arrive que cette lettre nous trahit ; mais on ne peut plus la reprendre. Ainsi, longtemps, obligé à votre attitude pittoresque, il vous a fallu vous montrer, non point tel que vous êtes en réalité, mais tel que le public voulait vous voir. Dans Le Journal, remplaçant Catulle Mendès, autre esclave du Tout-Paris et de sa mode, il vous a fallu forger tout les jours un mot qui n'ait pas l'air banal pour parler du vaudeville ou de la comédie ou du drame représenté, il vous a fallu aiguiser votre ironie pour qu'on devine, entre les lignes, assez loin, votre opinion véritable sur l'oeuvre que l'on vous chargeait de critiquer. Aujourd'hui vous suivez les grands enterrements et même – est-ce encore ironie ? - vous écrivez prématurément l'oraison funèbre d'un confrère entré dans l'immortalité, c'est-à-dire déjà dans le néant. Mais vous méritiez mieux que cela. Ceux qui comptaient sur vous méritaient mieux aussi.


Gabriel Reuillard.


Ernest La Jeunesse a donné, en dehors de sa collaboration de chroniqueur au Journal et des articles de critique dramatique qu'il y fit pendant plus d'une année : Les Nuit, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains, étude critiques en 1896. L'Imitation de Notre Maître Napoléon, sorte de roman doctrinaire, en 1897. L'Holocauste, roman contemporain, en 1898. Sérénissime, roman contemporain, et Demi-Volupté, en 1900. Cinq ans chez les Sauvages, études critiques, en 1903. Le Boulevard, romain contemporain, en 1906. Le Forçat honoraire, roman, en 1907. L'Huis-Clos, moralité moderne, en un acte, en prose, représentée sur la scène du Théâtre-Antoine, en 1900.


(1) Jean-Pierre Brisset (1837 -1919), vient d'être élu « Prince des penseurs » (6 janvier 1913). La comparaison avec La Jeunesse est fortement exagéré.


Œuvres de La Jeunesse sur Gallica 2 : L'Holocauste, Le Forçat honoraire, roman immoral, Le Boulevard, Demi-volupté, Sérénissime, L'Inimitable, Les Nuits, les Ennuis et les Ames de nos plus notoires contemporains, Des Soirs, des gens, des choses...

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1 commentaire:

Anonyme a dit…

Lire La Jeunesse ? mais oui, bons dieux !